LES ÉPREUVES

Réflexion
Lorsqu’il m’arrive une épreuve :
Sur quoi ma pensée et/ou mon attention sont-ils centrés ?
Est-ce sur ce que je vis, soit l’émotion ?
Ou est-ce que je cherche à connaître la cause, ce qui m’a amené à vivre cette émotion ?
En fait, c’est comme aller voir un médecin et lui dire : « J’ai mal à la tête à tous les jours ! »
Deux choses peuvent alors se passer. Soit il répond « Prenez deux aspirines à chaque jour. », et vous vous exécutez et continuer d’avoir mal à la tête tant que vous ne mettez pas de « plaster » sur le bobo, en l’occurrence, l’aspririne.
La deuxième option, si vous avez un bon médecin, c’est qu’il vous dise « Nous allons remplir un bilan de santé, savoir depuis quand ça dure, à quelle occasion ces maux se manifestent et à quelle fréquence, si vous avez changé vos habitudes de vie, etc.. De cette façon, nous pourrons cerner si les causes du problème sont externes ou internes et je vous ferai passer des examens si l’on n'arrive pas à mettre le doigt sur le problème. Chose certaine, nous allons trouver la source et régler ce problème. »
Ma question pour vous est « Êtes-vous un bon médecin ? »
Mettez-vous seulement un « plaster »sur le bobo ou affrontez-vous le problème de face, de façon à ne pas seulement combattre les symptômes mais à annihiler le problème lui-même en sachant le pourquoi de son existence et son impact réel sur votre vie ?
Je dis souvent que pleurer sur son sort ne mène pas à la solution. Oui, en toute chose il y a un moment de « deuil ». Nous devons cependant nous retrousser les manches et avancer, franchir l’épreuve victorieusement. Toujours « pleurer » sur l’émotion ressentie ne fait que nous projeter plus longtemps dans cette émotion. Nous faisons du « sur place ».
Il ne faut pas avoir peur d’aller au fond des choses parce que tout ce qui nous arrive a un seul but, nous faire grandir. Nager dans le bonheur et se garder dans cette émotion de joie nous fait grandir et apprécier la vie. Dans le cas d’une épreuve, c’est le contraire qu’il faut faire afin de trouver enfin l’émotion de joie et la gratitude qui devrait en découler. Notez que même si cela semble paradoxal, il faut dire « Merci » pour les épreuves, merci parce que je les vois de façon positive et parce qu’elles me font grandir et évoluer.
Loin de moi l’idée de vous faire croire que c’est facile. J’y arrive parfois difficilement aussi mais comme quelqu’un l’a si bien dit, tomber est une chose, se relever en est une autre. Tomber ou ce qui nous fait tomber n’a pas d’importance, le moyen que l'on prend pour se relever et notre capacité à nous relever, c’est ce qui compte !
Je terminerai en vous laissant sur cette citation d'un livre que je conseille fortement, soit L'aventure Héroïque , de Céline et Pierre Lassalle, aux éditions Terre de Lumière :
"L'étymologie du mot "épreuve" est la même que celle des mots "prouver" et "preuve" et elle signifie "essayer de prouver sa valeur" ou "donner une preuve de sa valeur"!"
En voyant l'épreuve sous cet angle, je crois que l'on peut considérer l'épreuve comme une belle plateforme vers l'évolution.
Lorsqu’il m’arrive une épreuve :
Sur quoi ma pensée et/ou mon attention sont-ils centrés ?
Est-ce sur ce que je vis, soit l’émotion ?
Ou est-ce que je cherche à connaître la cause, ce qui m’a amené à vivre cette émotion ?
En fait, c’est comme aller voir un médecin et lui dire : « J’ai mal à la tête à tous les jours ! »
Deux choses peuvent alors se passer. Soit il répond « Prenez deux aspirines à chaque jour. », et vous vous exécutez et continuer d’avoir mal à la tête tant que vous ne mettez pas de « plaster » sur le bobo, en l’occurrence, l’aspririne.
La deuxième option, si vous avez un bon médecin, c’est qu’il vous dise « Nous allons remplir un bilan de santé, savoir depuis quand ça dure, à quelle occasion ces maux se manifestent et à quelle fréquence, si vous avez changé vos habitudes de vie, etc.. De cette façon, nous pourrons cerner si les causes du problème sont externes ou internes et je vous ferai passer des examens si l’on n'arrive pas à mettre le doigt sur le problème. Chose certaine, nous allons trouver la source et régler ce problème. »
Ma question pour vous est « Êtes-vous un bon médecin ? »
Mettez-vous seulement un « plaster »sur le bobo ou affrontez-vous le problème de face, de façon à ne pas seulement combattre les symptômes mais à annihiler le problème lui-même en sachant le pourquoi de son existence et son impact réel sur votre vie ?
Je dis souvent que pleurer sur son sort ne mène pas à la solution. Oui, en toute chose il y a un moment de « deuil ». Nous devons cependant nous retrousser les manches et avancer, franchir l’épreuve victorieusement. Toujours « pleurer » sur l’émotion ressentie ne fait que nous projeter plus longtemps dans cette émotion. Nous faisons du « sur place ».
Il ne faut pas avoir peur d’aller au fond des choses parce que tout ce qui nous arrive a un seul but, nous faire grandir. Nager dans le bonheur et se garder dans cette émotion de joie nous fait grandir et apprécier la vie. Dans le cas d’une épreuve, c’est le contraire qu’il faut faire afin de trouver enfin l’émotion de joie et la gratitude qui devrait en découler. Notez que même si cela semble paradoxal, il faut dire « Merci » pour les épreuves, merci parce que je les vois de façon positive et parce qu’elles me font grandir et évoluer.
Loin de moi l’idée de vous faire croire que c’est facile. J’y arrive parfois difficilement aussi mais comme quelqu’un l’a si bien dit, tomber est une chose, se relever en est une autre. Tomber ou ce qui nous fait tomber n’a pas d’importance, le moyen que l'on prend pour se relever et notre capacité à nous relever, c’est ce qui compte !
Je terminerai en vous laissant sur cette citation d'un livre que je conseille fortement, soit L'aventure Héroïque , de Céline et Pierre Lassalle, aux éditions Terre de Lumière :
"L'étymologie du mot "épreuve" est la même que celle des mots "prouver" et "preuve" et elle signifie "essayer de prouver sa valeur" ou "donner une preuve de sa valeur"!"
En voyant l'épreuve sous cet angle, je crois que l'on peut considérer l'épreuve comme une belle plateforme vers l'évolution.