NOTE : À LA FIN DE CETTE PAGE, VOUS TROUVEREZ DES LIENS QUI CONDUISENT À DES SITES D'ORGANISMES OU CENTRES D'AIDES.
Dans cette section du site est abordé tant l'intimidation chez les jeunes que chez les adultes.
L'INTIMIDATION
Le sujet de l'heure! Est-ce que vos enfants vous posent souvent la question "Est-ce qu'il y avait de l'intimidation dans ton temps maman (ou papa)?"
Certains répondraient Non, d'autres Oui. Cependant, il est clair que l'intimidation se vivait dans "mon temps". J'en ai été victime à maintes reprises. Comme j'avais été opéré pour le coeur à l'âge de six ans, j'étais loin d'avoir une forte constitution et une forte corpulence. Pour vous donner un ordre d'idée, à 14 ans, je mesurais 4'8" et je pesais 84 livres! On fait pas beaucoup de steak avec un corps comme ça. Par contre, pour les ribs....
J'étais la cible parfaite. Petit, intello, timide. Confiance en moi? Pas pour un cent! La seule chose que je savais de moi, c'est que j'étais "bolé" à l'école. J'aimais ça, que voulez-vous? J'avais commencé l'école à ma résidence secondaire, l'hôpital. Je n'ai pas fait de maternelle, et j'ai commencé la première année à l'âge de sept ans. Première année d'école, première année à me faire intimider par des deuxième ou troisième année.
Ça a duré jusqu'au secondaire 5 où je me suis rebellé, mais timidement quand même. Pas parce que j'avais pris confiance en moi, mais parce que j'avais une telle colère en moi qu'il fallait qu'elle sorte. Imaginez, au primaire, en 5ième année, j'ai passé le trois quart de l'année à me sauver à la fin de la journée afin d'échapper à une bande de jeunes qui étaient dans un gang : les Scorpions! (Hello pour ceux qui pensent que les gangs de rue viennent juste de naître parce que Les Scorpions et Les Cosaques existaient bel et bien!) Le pire dans tout cela, c'est que lorsque je revenais à la maison, c'est mon père qui était mon tortionnaire. (Aujourd'hui, tout est pardonné et il me manque, croyez-moi.)
Alors l'intimidation, je connais, le manque de confiance, je connais, la peur au ventre, je connais, accoté au mur sans voir l'espoir à l'horizon, je connais. Je continue?
Le pire dans l'intimidation, c'est que tout le monde crie sur les toits que ça doit être dénoncé, et c'est bien vrai. Par contre, les écoles, le gouvernement, même les parents parfois ne font rien. Cetains parents sont pacifistes à un point que l'idée même de voir leur fils ou leur fille lutter pour se libérer de ses bourreaux n'est pas une solution. "Laisse-les faire, ils vont se tanner!" Pas toujours vrai malheureusement. Il faut que ça change.
Pour ceux qui se font intimider, je vais vous dire un secret : Ceux qui vous intimident sont des froussards qui profitent de vos faiblesses, de votre noblesse de coeur, de votre GRAND coeur. En vérité, ils n'ont que le pouvoir que vous leur donnez. Bien sûr, ça prend du courage pour les affronter, ça prend du "boeuf" comme on dit, mais ce n'est pas donné à tout le monde. Un de mes fils, lorsqu'il se faisait intimider, fonçait dans le tas, peu importe le nombre. La colère l'envahissait et il fonçait (au grand désarroi de son autre frère qui lui, n'avait vraiment pas le même tempérament.)
L'intimidation provoque et amène des situations désastreuses parfois. On parle beaucoup de suicide ces temps-ci. Quel gaspillage! Et que dire de la sourde colère qui monte et monte dangeureusement.
Je me rappelle qu'un garçon, en secondaire 5 m'avait convié à le rejoindre dehors après la classe. J'étais nerveux, mais j'allais pas me défiler. Mais en sortant de la classe, il m'a empoigné la tête avant même que je puisse réagir et l'a cognée à plusieurs reprises sur le coin d'un casier, jusqu'à ce que je m'effondre par terre où il a continué de me frapper. J'étais knock out, je ne pouvais rien faire. C'est un autre élève, assez bâti celui-là qui lui a dit : "Quand t'auras fini, ce sera mon tour!" L'autre l'a regardé et a dit "Ok" en recommençant à me frapper. Et le "bâti" lui a dit, : "Pas lui, toi!" Et mon tortionnaire a compris que le gars avait tout vu et qu'il voulait lui régler son compte à lui. Curieusement, il a cessé de me frapper et a pris ses jambes à son cou.
Le résultat a fait que quelques années plus tard, puisque je savais qu'il habitait à Bonsecours et que je n'étais plus le même, je l'ai cherché pendant près d'une année pour pouvoir lui rendre la monnaie de sa pièce. Me serais-je senti mieux? Je ne crois pas. Parce que je n'étais pas ce genre de gars, parce que j'avais toujours été doux et timide et que là, il ne me restait que la colère. J'ai commencé à arpenter les bars et à m'en prendre à plus gros que moi. Juste la colère, l'aveuglement. Un gaspillage de temps et d'énergie je vous dis. Pendant ce temps-là, j'ignorais toujours qui j'étais et je continuais de jouer la victime avide de vengeance.
L'intimidation amène son lot d'insécurité et comment avancer dans notre chemin de vie lorsque l'on se sent diminué et sans défense? Ça me rend triste de savoir que tant de jeunes sont malheureux alors qu'ils devraient vivre les plus beaux jours de leur vie, en plein épanouissement. Qu'une porte s'ouvre et j'y entrerai pour donner mon soutien, j'en fais le serment.
Certains répondraient Non, d'autres Oui. Cependant, il est clair que l'intimidation se vivait dans "mon temps". J'en ai été victime à maintes reprises. Comme j'avais été opéré pour le coeur à l'âge de six ans, j'étais loin d'avoir une forte constitution et une forte corpulence. Pour vous donner un ordre d'idée, à 14 ans, je mesurais 4'8" et je pesais 84 livres! On fait pas beaucoup de steak avec un corps comme ça. Par contre, pour les ribs....
J'étais la cible parfaite. Petit, intello, timide. Confiance en moi? Pas pour un cent! La seule chose que je savais de moi, c'est que j'étais "bolé" à l'école. J'aimais ça, que voulez-vous? J'avais commencé l'école à ma résidence secondaire, l'hôpital. Je n'ai pas fait de maternelle, et j'ai commencé la première année à l'âge de sept ans. Première année d'école, première année à me faire intimider par des deuxième ou troisième année.
Ça a duré jusqu'au secondaire 5 où je me suis rebellé, mais timidement quand même. Pas parce que j'avais pris confiance en moi, mais parce que j'avais une telle colère en moi qu'il fallait qu'elle sorte. Imaginez, au primaire, en 5ième année, j'ai passé le trois quart de l'année à me sauver à la fin de la journée afin d'échapper à une bande de jeunes qui étaient dans un gang : les Scorpions! (Hello pour ceux qui pensent que les gangs de rue viennent juste de naître parce que Les Scorpions et Les Cosaques existaient bel et bien!) Le pire dans tout cela, c'est que lorsque je revenais à la maison, c'est mon père qui était mon tortionnaire. (Aujourd'hui, tout est pardonné et il me manque, croyez-moi.)
Alors l'intimidation, je connais, le manque de confiance, je connais, la peur au ventre, je connais, accoté au mur sans voir l'espoir à l'horizon, je connais. Je continue?
Le pire dans l'intimidation, c'est que tout le monde crie sur les toits que ça doit être dénoncé, et c'est bien vrai. Par contre, les écoles, le gouvernement, même les parents parfois ne font rien. Cetains parents sont pacifistes à un point que l'idée même de voir leur fils ou leur fille lutter pour se libérer de ses bourreaux n'est pas une solution. "Laisse-les faire, ils vont se tanner!" Pas toujours vrai malheureusement. Il faut que ça change.
Pour ceux qui se font intimider, je vais vous dire un secret : Ceux qui vous intimident sont des froussards qui profitent de vos faiblesses, de votre noblesse de coeur, de votre GRAND coeur. En vérité, ils n'ont que le pouvoir que vous leur donnez. Bien sûr, ça prend du courage pour les affronter, ça prend du "boeuf" comme on dit, mais ce n'est pas donné à tout le monde. Un de mes fils, lorsqu'il se faisait intimider, fonçait dans le tas, peu importe le nombre. La colère l'envahissait et il fonçait (au grand désarroi de son autre frère qui lui, n'avait vraiment pas le même tempérament.)
L'intimidation provoque et amène des situations désastreuses parfois. On parle beaucoup de suicide ces temps-ci. Quel gaspillage! Et que dire de la sourde colère qui monte et monte dangeureusement.
Je me rappelle qu'un garçon, en secondaire 5 m'avait convié à le rejoindre dehors après la classe. J'étais nerveux, mais j'allais pas me défiler. Mais en sortant de la classe, il m'a empoigné la tête avant même que je puisse réagir et l'a cognée à plusieurs reprises sur le coin d'un casier, jusqu'à ce que je m'effondre par terre où il a continué de me frapper. J'étais knock out, je ne pouvais rien faire. C'est un autre élève, assez bâti celui-là qui lui a dit : "Quand t'auras fini, ce sera mon tour!" L'autre l'a regardé et a dit "Ok" en recommençant à me frapper. Et le "bâti" lui a dit, : "Pas lui, toi!" Et mon tortionnaire a compris que le gars avait tout vu et qu'il voulait lui régler son compte à lui. Curieusement, il a cessé de me frapper et a pris ses jambes à son cou.
Le résultat a fait que quelques années plus tard, puisque je savais qu'il habitait à Bonsecours et que je n'étais plus le même, je l'ai cherché pendant près d'une année pour pouvoir lui rendre la monnaie de sa pièce. Me serais-je senti mieux? Je ne crois pas. Parce que je n'étais pas ce genre de gars, parce que j'avais toujours été doux et timide et que là, il ne me restait que la colère. J'ai commencé à arpenter les bars et à m'en prendre à plus gros que moi. Juste la colère, l'aveuglement. Un gaspillage de temps et d'énergie je vous dis. Pendant ce temps-là, j'ignorais toujours qui j'étais et je continuais de jouer la victime avide de vengeance.
L'intimidation amène son lot d'insécurité et comment avancer dans notre chemin de vie lorsque l'on se sent diminué et sans défense? Ça me rend triste de savoir que tant de jeunes sont malheureux alors qu'ils devraient vivre les plus beaux jours de leur vie, en plein épanouissement. Qu'une porte s'ouvre et j'y entrerai pour donner mon soutien, j'en fais le serment.
Cependant, vous le devinerez, il n'y a pas que les enfants qui vivent ces situations......
L'intimidation chez les adultes
Eh oui, même les adultes peuvent vivre de l'intimidation. Que ce soit par des patrons en mal de pouvoir, par des collègues de travail qui se pensent au-dessus de tout, par de faux amis qui profitent de leur douceur ou par une famille despotique, et j'en passe, l'intimidation FAIT MAL.
Comment avoir une bonne estime de soi, une bonne confiance en soi lorsque l'on est constamment rabaissé? Comment espérer aller plus loin et plus haut dans notre vie lorsque l'on se fait écraser comme une mouche. Parfois, et je dis bien parfois, les patrons, collègues, amis ou famille ne le font pas intentionnellement. Ils ont seulement une personnalité forte et un ego démesuré et ils ne prennent pas conscience de ce que cela génère.
J'ai vécu ça aussi, alors je peux vous dire que ça existe. Par contre, aujourd'hui, je peux dire que la colère n'est pas celle qui me vole mes années. Elle n'a plus le même pouvoir sur moi, je la connais bien et je sais comment la contourner, sinon, l'apaiser. Par contre, essaie toujours de refaire surface, c'est le manque de confiance que ça génère. La petite mauzusse de voix qui dit "Et si c'était vrai?" "S'ils avaient raison?" Cette voix n'a plus de prise sur moi parce que je me connais beaucoup mieux et que je connais mes forces. C'est malgré tout une roue qui tourne et qui revient, qui reviendra tant que nous ne l'aurons pas fait taire complètement. Le seul moyen d'y arriver, c'est de se connaître et de se reconnaître.
Je suis bien heureux d'annoncer que ça se guérit. Introspection, connaissance de soi, de ses valeurs et surtout, pardonner à ceux qui jouent au tyran. Car bien que j'aie parlé de ceux qui le font inconsciemment, il y en a qui le font par malain plaisir. J'ai déjà dit à quelqu'un qui était sur mon dos : "Si me rabaisser peut t'aider à t'élever, vas-y, gêne-toi pas, fais-toi plaisir. Tu retomberas juste de plus haut et moi, je serai à l'abri sur la terre ferme!" Je peux en rire parce que ça lui a fermé le clapet. Voyant le succès, j'ai utilisé cette formule à quelques reprises après ça. Même chose quand j'entends quelqu'un rabaisser quelqu'un d'autre. Mais attention, il ne faut pas le dire avec rancoeur ou colère, mais avec le sourire. Vous vous rappelez sûrement de cette phrase qui dit "La pluie de tes insultes n'atteint pas le parapluie de mon indifférence!" Portons attention à ce qui valorise et fait grandir, pas à ce qui détruit ou démolit.
Quand vous ne prêtez pas attention à vos tortionnaires, à vos intimidateurs, quand vous êtes conscient de qui vous êtes et que vous ne laissez personne venir vous dicter sa loi, même s'il continue son petit jeu, vous arrivez à rester loin de tout ça, dans votre monde où il n'y a pas place pour ce genre de choses et l'intimidateur se retrouve seul à gérer sa figure dans le miroir qui lui renvoit qui il est.
Un être qui se croit plus fort que les autres est en fait plus faible que les autres. Et même s'il ne le reconnaît pas, il est en détresse et a besoin d'aide.
La grande différence entre un intimidé et un intimidateur, c'est que le deuxième ne sait pas qu'il est malheureux. Par contre, tous les deux ont besoin d'aide.
Par les conférences et les ateliers, je veux que les gens reprennent leur pouvoir, qu'ils croient en eux. Pour ce qui est des intimidateurs qui se reconnaîtraient le besoin d'avoir de l'aide pour se sortir de ce marasme, j'offrirai la même chose parce qu'un intimidateur ne se connaît pas plus que celui qui se laisse intimider.
Comment avoir une bonne estime de soi, une bonne confiance en soi lorsque l'on est constamment rabaissé? Comment espérer aller plus loin et plus haut dans notre vie lorsque l'on se fait écraser comme une mouche. Parfois, et je dis bien parfois, les patrons, collègues, amis ou famille ne le font pas intentionnellement. Ils ont seulement une personnalité forte et un ego démesuré et ils ne prennent pas conscience de ce que cela génère.
J'ai vécu ça aussi, alors je peux vous dire que ça existe. Par contre, aujourd'hui, je peux dire que la colère n'est pas celle qui me vole mes années. Elle n'a plus le même pouvoir sur moi, je la connais bien et je sais comment la contourner, sinon, l'apaiser. Par contre, essaie toujours de refaire surface, c'est le manque de confiance que ça génère. La petite mauzusse de voix qui dit "Et si c'était vrai?" "S'ils avaient raison?" Cette voix n'a plus de prise sur moi parce que je me connais beaucoup mieux et que je connais mes forces. C'est malgré tout une roue qui tourne et qui revient, qui reviendra tant que nous ne l'aurons pas fait taire complètement. Le seul moyen d'y arriver, c'est de se connaître et de se reconnaître.
Je suis bien heureux d'annoncer que ça se guérit. Introspection, connaissance de soi, de ses valeurs et surtout, pardonner à ceux qui jouent au tyran. Car bien que j'aie parlé de ceux qui le font inconsciemment, il y en a qui le font par malain plaisir. J'ai déjà dit à quelqu'un qui était sur mon dos : "Si me rabaisser peut t'aider à t'élever, vas-y, gêne-toi pas, fais-toi plaisir. Tu retomberas juste de plus haut et moi, je serai à l'abri sur la terre ferme!" Je peux en rire parce que ça lui a fermé le clapet. Voyant le succès, j'ai utilisé cette formule à quelques reprises après ça. Même chose quand j'entends quelqu'un rabaisser quelqu'un d'autre. Mais attention, il ne faut pas le dire avec rancoeur ou colère, mais avec le sourire. Vous vous rappelez sûrement de cette phrase qui dit "La pluie de tes insultes n'atteint pas le parapluie de mon indifférence!" Portons attention à ce qui valorise et fait grandir, pas à ce qui détruit ou démolit.
Quand vous ne prêtez pas attention à vos tortionnaires, à vos intimidateurs, quand vous êtes conscient de qui vous êtes et que vous ne laissez personne venir vous dicter sa loi, même s'il continue son petit jeu, vous arrivez à rester loin de tout ça, dans votre monde où il n'y a pas place pour ce genre de choses et l'intimidateur se retrouve seul à gérer sa figure dans le miroir qui lui renvoit qui il est.
Un être qui se croit plus fort que les autres est en fait plus faible que les autres. Et même s'il ne le reconnaît pas, il est en détresse et a besoin d'aide.
La grande différence entre un intimidé et un intimidateur, c'est que le deuxième ne sait pas qu'il est malheureux. Par contre, tous les deux ont besoin d'aide.
Par les conférences et les ateliers, je veux que les gens reprennent leur pouvoir, qu'ils croient en eux. Pour ce qui est des intimidateurs qui se reconnaîtraient le besoin d'avoir de l'aide pour se sortir de ce marasme, j'offrirai la même chose parce qu'un intimidateur ne se connaît pas plus que celui qui se laisse intimider.
LA VIOLENCE CONJUGALE
Pour ajouter à ce sujet, je ne saurais passer sous silence, en parlant d'intimidation, la violence conjugale ou la violence faite envers les enfants ou les aînés. C'est un fléau où les victimes se retrouvent encore seules face à ce qu'elles vivent.
Pour ajouter à ce sujet, je ne saurais passer sous silence, en parlant d'intimidation, la violence conjugale ou la violence faite envers les enfants ou les aînés. C'est un fléau où les victimes se retrouvent encore seules face à ce qu'elles vivent.
Je dis bien que les victimes se retrouvent seules parce que c'est leur triste réalité. Combien de témoignages avons-nous entendu de femmes disant qu'elles avaient appelé la police et qu'elles avaient été éconduites par eux? Loin de moi l'idée de faire ici le procès des représentants de l'ordre, je suis persuadé que certains ont les mains liées (pourquoi on leur lie, je vous le demande) alors que d'autres, une minorité j'espère, ne considère pas que cela fait partie de leurs attributions. La justice ne fait pas non plus son travail en pareil domaine. Raison pour laquelle nombre de femmes agressées ne portent pas plainte. Fort heureusement, je crois qu'il y a amélioration de ce côté-là. Qu'il s'agisse de femmes battues ou de viols, justice n'est malheureusement pas toujours rendue. Y a-t-il des éléments que nous ne connaissons pas qui entravent le travail des policiers? Peut-être, mais ce dont je suis certain, c'est qu'il faut que ça change!
J'exècre ce monde qui accuse la femme de s'habiller trop sexy, de provoquer les hommes. Le vrai problème, c'est l'homme qui ne peut retenir sa bestialité et non pas la femme qui est bien dans sa peau et s'accorde le droit de porter ce qu'elle veut bien. Et inutile de penser que seules les femmes qui s'habillent sexy sont victimes de viols.
Quant aux femmes qui se font battre, leur douceur et leur tendresse n'est pas de taille contre l'homme qui se complait dans sa force physique et dans sa grande habileté à reconnaître les proies faciles qu'il peut détruire à coups de violence psychologique ou physique.
J'exècre ce monde qui accuse la femme de s'habiller trop sexy, de provoquer les hommes. Le vrai problème, c'est l'homme qui ne peut retenir sa bestialité et non pas la femme qui est bien dans sa peau et s'accorde le droit de porter ce qu'elle veut bien. Et inutile de penser que seules les femmes qui s'habillent sexy sont victimes de viols.
Quant aux femmes qui se font battre, leur douceur et leur tendresse n'est pas de taille contre l'homme qui se complait dans sa force physique et dans sa grande habileté à reconnaître les proies faciles qu'il peut détruire à coups de violence psychologique ou physique.
Une roue qui tourne
Difficile d'avoir une bonne estime de soi en ces cas-là. Difficile de croire en soi. C'est une roue qui tourne et qui semble ne jamais s'arrêter. Il n'y a pas assez de ressources à mon goût pour palier au manque d'aide dont ces femmes ont besoin. Je dis ces femmes mais je n'oublie pas que des hommes sont aussi victimes d'intimidation et de violence par leur conjointe. On en parle moins, c'est tout. Mais ça existe bel et bien. En vérité, il faut que ça cesse et le seul moyen, c'est que les forces policières et la justice mettent leur culotte, si vous me pardonnez l'expression et qu'il y ait une forte répression à ce niveau.
Il ne faut pas hésiter à dénoncer les abus. Si vous êtes témoin d'un drame quel qu'il soit, intervenez ou faites en sorte que la police intervienne. Le seul fait qu'elle apparaisse, même si elle ne donne pas suite, pourrait changer la situation.
Il ne faut pas hésiter à dénoncer les abus. Si vous êtes témoin d'un drame quel qu'il soit, intervenez ou faites en sorte que la police intervienne. Le seul fait qu'elle apparaisse, même si elle ne donne pas suite, pourrait changer la situation.
LA VIOLENCE FAITE AUX ENFANTS
La violence faite aux enfants, ça couvre large. C'est autant la violence physique que la violence psychologique. Elle provient des familles, parfois des beaux-pères ou belles-mères, d'intervenants que ce soit en milieu scolaire, sportif ou même d'aide aux jeunes en difficulté. Ça peut aussi arriver en famille d'accueil. Bref, l'enfant gravite dans des milieux propices à de tels actes parce que tout milieu y est favorable. C'est là un problème de société sur lequel il faut se pencher. Trop facile de briser la vie d'un enfant. Je n'exclue pas non plus la violence aux enfants faite par ses pairs.
Violence rime trop souvent avec silence
Qu'est-ce qui motive un adulte a abuser d'un enfant que ce soit psychologiquement ou physiquement? Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte. Il y a, bien sûr, la façon dont on a été élevé, les frustrations de la vie, les "échecs", enfin ce que l'on considère comme des échecs dans notre vie et qui dans ce cas, plutôt que de s'en servir comme tremplin servent à assouvir une sourde colère. Il y a la "maladie", le manque de patience et tant d'autres causes qui n'en finissent plus puisque tout est prétexte à frapper un enfant lorsque l'on se laisse aller à ses bas instincts.
Le meilleur moyen d'empêcher un enfant de développer une confiance en lui, c'est de lui faire violence, de le faire sentir plus petit qu'il ne l'est en réalité. Je serai plus dur ici en parlant de ceux qui se servent de leur enfance pour justifier ce qu'ils font à leurs enfants, parce que pour moi, cela ne justifie pas tout.
Ayant été moi-même victime de violence physique et psychologique (ou morale si vous préférez), je sais que plutôt que de répéter le "pattern", on peut se servir, comme je l'ai fait, de tremplin pour faire mieux, beaucoup mieux. Je me rappelle que toute mon enfance et au début de ma vie d'adulte alors que je courrais les bars, que je buvais et cherchais la bagarre, que lorsque viendrait le temps de choisir une femme comme compagne de vie et d'avoir des enfants, je ne répèterais pas le modèle de père de mon propre père. C'était clair dans ma tête et c'est ce que je me suis appliqué à faire. PAS D'EXCUSES!
Vous savez quoi? Jai pratiquement réussi à 100%. Je n'ai jamais frappé ma femme, je ne buvais pas, je traitais ma femme et mes enfants comme des trésors, je n'ai jamais battu mes enfants non plus. Là où j'ai parfois échoué, c'est lorsque je criais après mes enfants. Ce n'était pas fréquent, même rarement à ce que je me souvienne, mais chaque fois que je l'ai fait, j'ai dû m'excuser et j'ai vécu longtemps avec de la culpabilité. Mes enfants me disaient "C'est pas grave papa, j'ai pas agi comme il faut.", mais ma blessure intérieure était plus grande que leur pardon parce que je répétais alors ce que j'avais vécu.
Avec du recul, je suis malgré tout, fier de moi parce que mes enfants n'ont pas le caractère que j'avais à leur âge. Moi et leur mère avons su, semble-t-il, leur inculquer de bonnes valeurs et leur enseigner quoi faire et ne pas faire.. Quand je compare ce que j'ai fait à l'éducation que j'ai reçu de mon père, je considère avoir brisé une grande douleur que mon père vivait et qu'il me transmettait de la mauvaise façon.
En fait, la violence faite aux enfants, se retrouve le plus souvent dans deux situations principales (trois si je compte l'intimidation par ses pairs).
LES PARENTS ET LES BEAUX-PARENTS (en complément à ce qui a déjà été écrit sur ce site)
Certains parents ne savent pas à quel point leur rôle est important pour le développement de leurs enfants. Ceux-ci s’occupent de leur petite vie et ne sont pas à l’affut de ce que peuvent vivre leurs jeunes. La vie est belle !
Et que dire de ceux qui abusent physiquement de leurs enfants ? Et quand l’un des deux parents lui donne de l’Amour, mais ferme les yeux sur les agissements de l’autre. Mettez-vous à la place du jeune qui doit endurer ça. Que ce soit des abus sexuels ou physiques, ou psychologiques, l’effet dévastateur est le même.
Je sais ce que c’est que la violence physique et la violence psychologique, c’est ce qui a bercé ma jeunesse et si vous saviez le sentiment de solitude et de désespoir que l’on peut vivre, c’est pratiquement impossible de le décrire en mots. J'ai quand même eu la chance d'avoir un exutoire, l'écriture, mais ça ne guérissait pas tout.
Par la suite, tout dépend de ce que l’on fait de son désespoir. Il faut passer par le pardon, puis la compréhension de ce que l’on a vécu, puis décider de ne pas vivre dans le passé et de se découvrir pour partir sur de nouvelles bases. Comprendre ce que l’on a vécu pour prendre la décision de ne pas le faire vivre à d’autres. Ça ne se fait pas instantanément, plusieurs années ont été nécessaires pour moi, trop d’années en fait. Pourtant, dans mon cas, c’est ce qui me pousse à vouloir aller vers les gens qui vivent des moments difficiles parce que justement, je comprends et je compatis. La confiance en soi est la chose la plus difficile à acquérir suite à de mauvaises expériences. L’estime de soi est tellement faible que c’est pire que repartir à zéro dans notre tête. Mais à l’impossible, nul n’est tenu.
INTERVENANTS (Personnes en autorité, quelles qu'elles soient)
Il est parfois décourageant de voir à quel point il arrive souvent que les enfants sont victimes de gens en qui les parents ou les directions d’école ou d’activités sportives font confiance. Ces gens ne sont pas assez confiants ou le sont trop (dans le cas des abuseurs) de leur pouvoir sur les jeunes. Quoi qu'il en soit, ils profitent surtout, du privilège qu’ils ont de travailler avec ce genre de « clientèle ». Fort heureusement, ce n’est pas général. De même, ceux qui se servent de leur autorité pour abuser sont de fins filous, comme l'aurait dit ma grand-mère.
La façon de procéder est simple. Ceux qui agissent ainsi savent très bien repérer les jeunes qui seraient des proies faciles. Ils le sentent et étant très manipulateurs, vont petit à petit attirer leur proie dans leur filet. J’utilise le mot « proie » parce que pour moi il ne fait aucun doute que ces personnes d’autorité sont des prédateurs. Ils rôdent dans l’ombre et surveillent leurs futures victimes. Ils vont se rapprocher d’elles (leurs proies), être gentils, parler avec elles et déceler ce qu’elles vivent de difficile. Ils vont créer un climat de confiance et ils vont utiliser le principe « Moi je ne suis pas comme ça, moi je te comprends, moi je peux t’aider. » . C’est subtil et pervers mais, ça fonctionne malheureusement. Ils décèlent les faiblesses de ceux qui’ils veulent attirer et s’en servent à leur fin.
Ça peut aller jusqu’au point où ils peuvent faire ce qu’ils veulent avec leurs victimes parce que celles-ci en sont venues à croire que ceux qui les ont attirés dans leurs filets, à leur insu, sont les seuls qui les comprennent et les seuls qui les aime. Pathétique mais ô combien trop vrai.
Dans d’autres scénarios, les jeunes vont même jusqu’à tomber en amour avec ceux ou celles qui leur ont accordé toute leur attention. C’est ici une mise en garde pour les parents, une phrase que j’ai dite souvent : « Si je ne prends pas soin de mes enfants ou de ma femme, quelqu’un d’autre s’en chargera, et fort probablement pas à mon bénéfice ou au leur. » Vos enfants ont besoin de vous, occupez-vous en, soyez attentifs à leurs besoins (je ne parle pas là d'adhérer au règne de l’enfant roi), SOYEZ PRÉSENTS dans leur vie, pas pour les étouffer mais pour qu’ils sachent que s’ils se retrouvent à la mer, il y aura une bouée tout près.
C’est dans la tâche du parent d’être là pour ses enfants et un jour, il y aura le retour du balancier. Il ne fautpas oublier ceci : "Parent un jour, parent toujours." Je sais que ce n’est pas facile d’être à la fois un guide pour ses enfants, et les laisser s’épanouir pour qu’ils aient leur propre identité, mais c’est possible et c’est même le seul chemin, la seule voie véritable à suivre. Si une personne extérieure à votre lien avec votre enfant entre dans le décor, et que cette personne veut profiter de votre enfant, c’est justement ce lien que vous avez créé qui pourrait le sauver.
Les manipulateurs ont le tour de persuader vos enfants que s’ils parlent, ce seront eux qui seront sur la sellette. Seule la confiance que votre enfant a en vous pourra contrer ces tentatives de la part d’agresseurs éventuels.
Les attouchements, les viols, les violences physiques ou psychologiques dont sont victimes les enfants les rend encore plus vulnérables et les plonge dans un désespoir sans fin. Il faut en être conscient. Vous connaissez vos enfants mieux que quiconque, il faut donc que vous soyez attentifs à leurs comportements et déceler les changements.
Il ne faut pas fermer les yeux parce que de voir un problème éventuel nous dérange. Vous êtes le pilier de la vie de votre enfant. Dialoguez avec lui, intéressez-vous à lui. Il aime le hockey mais vous détestez, et puis après ? Croyez-vous qu’il s’intéresse à tout ce que vous faites ? Le véritable lien, celui qui fait tout accepter, c’est l’Amour. Avec ce seul outil, croyez-moi, on passe au travers tout.
Un jeune qui se réfugie dans sa solitude perd son pouvoir, sa confiance en lui et en ses pairs et automatiquement, fait du « sur place » parce que s’il tente d’avancer, il a peur d’encore plus s’enfoncer. L'estime de soi est tellement important pour en arriver à une vie juste et équilibrée que ça vaut la peine d'investir dans ce sentiment, cet état précieux.
Le meilleur moyen d'empêcher un enfant de développer une confiance en lui, c'est de lui faire violence, de le faire sentir plus petit qu'il ne l'est en réalité. Je serai plus dur ici en parlant de ceux qui se servent de leur enfance pour justifier ce qu'ils font à leurs enfants, parce que pour moi, cela ne justifie pas tout.
Ayant été moi-même victime de violence physique et psychologique (ou morale si vous préférez), je sais que plutôt que de répéter le "pattern", on peut se servir, comme je l'ai fait, de tremplin pour faire mieux, beaucoup mieux. Je me rappelle que toute mon enfance et au début de ma vie d'adulte alors que je courrais les bars, que je buvais et cherchais la bagarre, que lorsque viendrait le temps de choisir une femme comme compagne de vie et d'avoir des enfants, je ne répèterais pas le modèle de père de mon propre père. C'était clair dans ma tête et c'est ce que je me suis appliqué à faire. PAS D'EXCUSES!
Vous savez quoi? Jai pratiquement réussi à 100%. Je n'ai jamais frappé ma femme, je ne buvais pas, je traitais ma femme et mes enfants comme des trésors, je n'ai jamais battu mes enfants non plus. Là où j'ai parfois échoué, c'est lorsque je criais après mes enfants. Ce n'était pas fréquent, même rarement à ce que je me souvienne, mais chaque fois que je l'ai fait, j'ai dû m'excuser et j'ai vécu longtemps avec de la culpabilité. Mes enfants me disaient "C'est pas grave papa, j'ai pas agi comme il faut.", mais ma blessure intérieure était plus grande que leur pardon parce que je répétais alors ce que j'avais vécu.
Avec du recul, je suis malgré tout, fier de moi parce que mes enfants n'ont pas le caractère que j'avais à leur âge. Moi et leur mère avons su, semble-t-il, leur inculquer de bonnes valeurs et leur enseigner quoi faire et ne pas faire.. Quand je compare ce que j'ai fait à l'éducation que j'ai reçu de mon père, je considère avoir brisé une grande douleur que mon père vivait et qu'il me transmettait de la mauvaise façon.
En fait, la violence faite aux enfants, se retrouve le plus souvent dans deux situations principales (trois si je compte l'intimidation par ses pairs).
LES PARENTS ET LES BEAUX-PARENTS (en complément à ce qui a déjà été écrit sur ce site)
Certains parents ne savent pas à quel point leur rôle est important pour le développement de leurs enfants. Ceux-ci s’occupent de leur petite vie et ne sont pas à l’affut de ce que peuvent vivre leurs jeunes. La vie est belle !
Et que dire de ceux qui abusent physiquement de leurs enfants ? Et quand l’un des deux parents lui donne de l’Amour, mais ferme les yeux sur les agissements de l’autre. Mettez-vous à la place du jeune qui doit endurer ça. Que ce soit des abus sexuels ou physiques, ou psychologiques, l’effet dévastateur est le même.
Je sais ce que c’est que la violence physique et la violence psychologique, c’est ce qui a bercé ma jeunesse et si vous saviez le sentiment de solitude et de désespoir que l’on peut vivre, c’est pratiquement impossible de le décrire en mots. J'ai quand même eu la chance d'avoir un exutoire, l'écriture, mais ça ne guérissait pas tout.
Par la suite, tout dépend de ce que l’on fait de son désespoir. Il faut passer par le pardon, puis la compréhension de ce que l’on a vécu, puis décider de ne pas vivre dans le passé et de se découvrir pour partir sur de nouvelles bases. Comprendre ce que l’on a vécu pour prendre la décision de ne pas le faire vivre à d’autres. Ça ne se fait pas instantanément, plusieurs années ont été nécessaires pour moi, trop d’années en fait. Pourtant, dans mon cas, c’est ce qui me pousse à vouloir aller vers les gens qui vivent des moments difficiles parce que justement, je comprends et je compatis. La confiance en soi est la chose la plus difficile à acquérir suite à de mauvaises expériences. L’estime de soi est tellement faible que c’est pire que repartir à zéro dans notre tête. Mais à l’impossible, nul n’est tenu.
INTERVENANTS (Personnes en autorité, quelles qu'elles soient)
Il est parfois décourageant de voir à quel point il arrive souvent que les enfants sont victimes de gens en qui les parents ou les directions d’école ou d’activités sportives font confiance. Ces gens ne sont pas assez confiants ou le sont trop (dans le cas des abuseurs) de leur pouvoir sur les jeunes. Quoi qu'il en soit, ils profitent surtout, du privilège qu’ils ont de travailler avec ce genre de « clientèle ». Fort heureusement, ce n’est pas général. De même, ceux qui se servent de leur autorité pour abuser sont de fins filous, comme l'aurait dit ma grand-mère.
La façon de procéder est simple. Ceux qui agissent ainsi savent très bien repérer les jeunes qui seraient des proies faciles. Ils le sentent et étant très manipulateurs, vont petit à petit attirer leur proie dans leur filet. J’utilise le mot « proie » parce que pour moi il ne fait aucun doute que ces personnes d’autorité sont des prédateurs. Ils rôdent dans l’ombre et surveillent leurs futures victimes. Ils vont se rapprocher d’elles (leurs proies), être gentils, parler avec elles et déceler ce qu’elles vivent de difficile. Ils vont créer un climat de confiance et ils vont utiliser le principe « Moi je ne suis pas comme ça, moi je te comprends, moi je peux t’aider. » . C’est subtil et pervers mais, ça fonctionne malheureusement. Ils décèlent les faiblesses de ceux qui’ils veulent attirer et s’en servent à leur fin.
Ça peut aller jusqu’au point où ils peuvent faire ce qu’ils veulent avec leurs victimes parce que celles-ci en sont venues à croire que ceux qui les ont attirés dans leurs filets, à leur insu, sont les seuls qui les comprennent et les seuls qui les aime. Pathétique mais ô combien trop vrai.
Dans d’autres scénarios, les jeunes vont même jusqu’à tomber en amour avec ceux ou celles qui leur ont accordé toute leur attention. C’est ici une mise en garde pour les parents, une phrase que j’ai dite souvent : « Si je ne prends pas soin de mes enfants ou de ma femme, quelqu’un d’autre s’en chargera, et fort probablement pas à mon bénéfice ou au leur. » Vos enfants ont besoin de vous, occupez-vous en, soyez attentifs à leurs besoins (je ne parle pas là d'adhérer au règne de l’enfant roi), SOYEZ PRÉSENTS dans leur vie, pas pour les étouffer mais pour qu’ils sachent que s’ils se retrouvent à la mer, il y aura une bouée tout près.
C’est dans la tâche du parent d’être là pour ses enfants et un jour, il y aura le retour du balancier. Il ne fautpas oublier ceci : "Parent un jour, parent toujours." Je sais que ce n’est pas facile d’être à la fois un guide pour ses enfants, et les laisser s’épanouir pour qu’ils aient leur propre identité, mais c’est possible et c’est même le seul chemin, la seule voie véritable à suivre. Si une personne extérieure à votre lien avec votre enfant entre dans le décor, et que cette personne veut profiter de votre enfant, c’est justement ce lien que vous avez créé qui pourrait le sauver.
Les manipulateurs ont le tour de persuader vos enfants que s’ils parlent, ce seront eux qui seront sur la sellette. Seule la confiance que votre enfant a en vous pourra contrer ces tentatives de la part d’agresseurs éventuels.
Les attouchements, les viols, les violences physiques ou psychologiques dont sont victimes les enfants les rend encore plus vulnérables et les plonge dans un désespoir sans fin. Il faut en être conscient. Vous connaissez vos enfants mieux que quiconque, il faut donc que vous soyez attentifs à leurs comportements et déceler les changements.
Il ne faut pas fermer les yeux parce que de voir un problème éventuel nous dérange. Vous êtes le pilier de la vie de votre enfant. Dialoguez avec lui, intéressez-vous à lui. Il aime le hockey mais vous détestez, et puis après ? Croyez-vous qu’il s’intéresse à tout ce que vous faites ? Le véritable lien, celui qui fait tout accepter, c’est l’Amour. Avec ce seul outil, croyez-moi, on passe au travers tout.
Un jeune qui se réfugie dans sa solitude perd son pouvoir, sa confiance en lui et en ses pairs et automatiquement, fait du « sur place » parce que s’il tente d’avancer, il a peur d’encore plus s’enfoncer. L'estime de soi est tellement important pour en arriver à une vie juste et équilibrée que ça vaut la peine d'investir dans ce sentiment, cet état précieux.
VIOLENCE ENVERS LES AÎNÉS
Comment accepter une telle pratique? J'en réfère encore aux autochtones pour qui, leurs pères, grand-pères et ancêtres étaient importants parce qu'ils léguaient leurs sagesses aux plus jeunes. Ils connaissent la valeur de leurs aînés.
Dans notre société, il y en a qui se font battre, voler, violenter psychologiquement. Ils n'ont plus les moyens de combattre. Je n'arrive pas à croire que certaines personnes se servent de leurs parents ou grand-parents plutôt que de chercher à acquérir leur sagesse qu'ils seraient si heureux (se) de partager.
Cela se passe dans les familles et même dans les centres qui sont censés les protéger et leur apporter le bien-être qu'ils sont en droit de réclamer. Ils perdent alors toute dignité et stagnent, attendant que la mort vienne les délivrer. Quand ça vient de la famille, c'est pire encore. Il faut dénoncer ces actes. Soyez vigilants et surveillez des changements dans leur comportement parce que la peur peut les paralyser. Il en va de même pour toute personne victime d'intimidation. Protégeons notre richesse, protégons ces êtres qui ont tant d'Amour et de souvenirs à partager avec nous, sans rien demander en retour.
Dans notre société, il y en a qui se font battre, voler, violenter psychologiquement. Ils n'ont plus les moyens de combattre. Je n'arrive pas à croire que certaines personnes se servent de leurs parents ou grand-parents plutôt que de chercher à acquérir leur sagesse qu'ils seraient si heureux (se) de partager.
Cela se passe dans les familles et même dans les centres qui sont censés les protéger et leur apporter le bien-être qu'ils sont en droit de réclamer. Ils perdent alors toute dignité et stagnent, attendant que la mort vienne les délivrer. Quand ça vient de la famille, c'est pire encore. Il faut dénoncer ces actes. Soyez vigilants et surveillez des changements dans leur comportement parce que la peur peut les paralyser. Il en va de même pour toute personne victime d'intimidation. Protégeons notre richesse, protégons ces êtres qui ont tant d'Amour et de souvenirs à partager avec nous, sans rien demander en retour.
L'une des conséquences de la violence, et cela plus actuel de jour en jour, c'est le suicide, surtout chez les jeunes. JEVI est un Centre d'Aide pour la prévention du suicide mais apporte aussi une aide à ceux qui sont proches des personnes suicidaires. J'ai inclu le lien, au bas de cette page, du site de JEVI. Les conséquences de l'intimidation et de la violence ne sont pas à prendre à la légère. RÉAGISSONS!
Pour faire suite à tout ce que vous retrouvez dans cette page, voyez ci-bas plusieurs liens pour ceux qui en auraient besoin ou qui connaissent des gens qui sont concernés par toutes formes d'abus ou de violence.