T'es beau, t'es fin, t'es fort, t'es capable!
À travers mes yeux, comment je me vois ?
Il faut savoir que nous sommes les créateurs de notre vie.
Nos parents, nos amis, la société et les intimidateurs n’ont de prise sur nous que si nous leur en donnons le pouvoir. Je ne dois pas me voir au travers les yeux des autres, mais au travers les miens en faisant de l’introspection, en cherchant à cerner quelles sont mes forces, quelles sont mes qualités et quels sont mes talents.
Qui suis-je ?
Pour avoir confiance en soi, pour arrêter de faire du « sur place », il est important que je me connaisse bien. Plusieurs moyens s’offrent à moi. Tel que mentionné plus haut, l’introspection en est un. En plus, si j’ai la chance d’avoir un ami sincère, je peux lui demander ce qu’il pense de moi, ce qu’il voit en moi, pourquoi il est mon ami. Un ami sincère vous dira ce qu’il y a de bien chez vous, et peut-être les choses qui sont moins plaisantes à entendre mais qui sont dites de manières constructives. Vous vous en servirez pour évoluer. Attention au dialogue de sourd cependant.
Une autre façon de remonter l’estime de soi, c’est de faire le bilan de nos « bons
coups », de faire une liste de nos réalisations, aussi petites soient-elles à nos yeux.
Il faut donc que je fasse appel à ma mémoire pour me rappeler si, par exemple, j’ai réussi à remettre ma chaîne de bicyclette en place, si j’ai réussi à construire ne serait-ce qu’une cabane à moineau. Le moindre petit détail est important, même la première fois que j’ai réussi à faire du Jell-O ! La somme de tout ceci pourrait me convaincre qu’en fait, je suis capable de réussir des choses, et si je suis capable, je peux arrêter de me bloquer et avancer. Malheureusement, l’humain est plus porté à se souvenir de ce qui l'a fait souffrir que de ce qui l'a fait sourire.
La façon dont je crois que les autres me voient.
Je vous le demande, est-ce si important ? Pas du tout parce que personne ne me connaît mieux que moi-même. Si je m’arrête à me connaître, je me bâtirai ma propre idée de moi. Si malgré tout je ne vois que du noir, je peux trouver de l’aide. Il y a des organismes, ou des gens qui comme je le fais ici, ont à cœur de vous voir vous élever. Si vous ne croyez pas pouvoir le faire seul, ce n’est pas une honte de demander de l’aide.
J'ai tout à gagner à me découvrir moi-même. Comment je me vois, comment je me perçois est très important. Le tout est de le faire sans jugement envers moi-même. Le jugement peut me pourrir la vie à un point tel que je ne croirai pas en moi, que j'arrêterai d'avancer et que je placerai ma confiance dans tout sauf en moi. Les résultats peuvent être castastrophiques.
N’oubliez surtout pas ceci : L’impact et l’attention que je prête à ceux qui ont une mauvaise opinion de moi, c’est du temps que je PERDS à ÊTRE CELUI QUE JE NE SUIS PAS. Du jour où je cesse de m'en faire à ce sujet, c'est du temps que JE GAGNE à ÊTRE QUI JE SUIS!
Il faut savoir que nous sommes les créateurs de notre vie.
Nos parents, nos amis, la société et les intimidateurs n’ont de prise sur nous que si nous leur en donnons le pouvoir. Je ne dois pas me voir au travers les yeux des autres, mais au travers les miens en faisant de l’introspection, en cherchant à cerner quelles sont mes forces, quelles sont mes qualités et quels sont mes talents.
Qui suis-je ?
Pour avoir confiance en soi, pour arrêter de faire du « sur place », il est important que je me connaisse bien. Plusieurs moyens s’offrent à moi. Tel que mentionné plus haut, l’introspection en est un. En plus, si j’ai la chance d’avoir un ami sincère, je peux lui demander ce qu’il pense de moi, ce qu’il voit en moi, pourquoi il est mon ami. Un ami sincère vous dira ce qu’il y a de bien chez vous, et peut-être les choses qui sont moins plaisantes à entendre mais qui sont dites de manières constructives. Vous vous en servirez pour évoluer. Attention au dialogue de sourd cependant.
Une autre façon de remonter l’estime de soi, c’est de faire le bilan de nos « bons
coups », de faire une liste de nos réalisations, aussi petites soient-elles à nos yeux.
Il faut donc que je fasse appel à ma mémoire pour me rappeler si, par exemple, j’ai réussi à remettre ma chaîne de bicyclette en place, si j’ai réussi à construire ne serait-ce qu’une cabane à moineau. Le moindre petit détail est important, même la première fois que j’ai réussi à faire du Jell-O ! La somme de tout ceci pourrait me convaincre qu’en fait, je suis capable de réussir des choses, et si je suis capable, je peux arrêter de me bloquer et avancer. Malheureusement, l’humain est plus porté à se souvenir de ce qui l'a fait souffrir que de ce qui l'a fait sourire.
La façon dont je crois que les autres me voient.
Je vous le demande, est-ce si important ? Pas du tout parce que personne ne me connaît mieux que moi-même. Si je m’arrête à me connaître, je me bâtirai ma propre idée de moi. Si malgré tout je ne vois que du noir, je peux trouver de l’aide. Il y a des organismes, ou des gens qui comme je le fais ici, ont à cœur de vous voir vous élever. Si vous ne croyez pas pouvoir le faire seul, ce n’est pas une honte de demander de l’aide.
J'ai tout à gagner à me découvrir moi-même. Comment je me vois, comment je me perçois est très important. Le tout est de le faire sans jugement envers moi-même. Le jugement peut me pourrir la vie à un point tel que je ne croirai pas en moi, que j'arrêterai d'avancer et que je placerai ma confiance dans tout sauf en moi. Les résultats peuvent être castastrophiques.
N’oubliez surtout pas ceci : L’impact et l’attention que je prête à ceux qui ont une mauvaise opinion de moi, c’est du temps que je PERDS à ÊTRE CELUI QUE JE NE SUIS PAS. Du jour où je cesse de m'en faire à ce sujet, c'est du temps que JE GAGNE à ÊTRE QUI JE SUIS!